Bulletin de juillet 2017
Bonjour cher(e)s contributeurs et contributrices ou habitué(e))s du site,
c’est le grand rush pour les Juilletistes
Je ne vous laisserai pas partir sans vous dire combien nous sommes agréablement surpris par la diversité de vos prospections. Des « Roch » nous arrivent de tous les horizons, de tous les coins de « France et de Navarre » et même de l’étranger.
Les statistiques sont formelles : nous avons, depuis le début de l’année, progressé de 64 représentations de Saint Roch.
Au 3 juillet 2017, le nombre d’entrée 2017 est de 64 représentations de saint Roch. Au 3 juillet 2017, on dénombre 955 représentations de saint Roch sur le site. | |
N’ayez pas de regret si vos découvertes sont déjà sur le site. D’abord, c’est pour la beauté du lieu que vous avez visité telle église, tel édifice, et non pour une sorte de « chasse » ou de « course » au saint Roch. Profitez de ce moment puis cherchez… et pensez au plaisir que vous allez à votre tour nous procurer.
Envoyez vos photos car aucun photographe ne fait la même, ni sous le même angle, ni avec le même éclairage. Vous pouvez encore étoffer votre envoi, par la photo de l’église, par un détail original que vous serez le seul à avoir repéré, photographiez le cadre, l’environnement. Tout nous intéresse. Et parfois, grâce à vous, de nouvelles idées surgissent.
Ainsi |
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De même Je viens de découvrir au détour d’une recherche sur la peste, qu’un Ardennais… avait été le premier médecin français à écrire un livre sur le sujet. Quasi inconnu, ce précurseur de la médecine préventive tient son nom de son village natal, Damouzy, à moins d’une lieue de l’actuelle Charleville. En 1348, Pierre de Damouzy, maître régent de la faculté de médecine de Paris de 1325 à 1328 et médecin personnel de Marguerite de France, fille du roi Philippe V le Long, rédige à Reims le « Tractatus de Epydémia », traité de médecine en latin dans lequel il présente un bilan des connaissances médicales mais aussi astrologiques ! sur la peste qu’il nomme simplement épidémia. Repoussant toute référence à une volonté divine, il désigne l’air corrompu comme vecteur de la propagation, préconise d’éviter les contacts avec les personnes venant de régions où sévit le mal car même en bonne santé elles peuvent être porteuses de la contamination. Son traité adressé au roi de France Philippe VI, n’empêchera pas ce dernier et son épouse de succomber à la peste malgré leur dévotion aux deux grands intercesseurs que sont saint Roch et saint Sébastien. |
Cet article intéressera plus particulièrement Fernando.
Qui peut compléter le texte de Jean-Marie ? Marie-Jo ? Quelqu’un d’autre ?
Pour mémoire : Alexandre Yersin (1863-1943) découvreur du bacille de la peste : Hommage à Alexandre Yersin.
est toujours dans la course
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Contribution de Monique qui nous fait parvenir cet insolite tableau de la chapelle Le Cret dans la commune de Auris en Oisans (38).
Pour ma part je pense à l’évocation du martyre de Jean-Baptiste. (Ier siècle). Selon le récit de Marc au chapitre 6, Salomé demande à Hérode Antipas qu’il lui accorde la tête de Jean-Baptiste sur un plateau. Ce qui fut dit fut fait. J’ai trouvé d’autres tableaux représentants la « décollation » de Jean-Baptiste. On retrouve le halo lumineux avec la tête de Jean-Baptiste, apparaissant à Salomé. D’après des textes orthodoxes, la tête aurait été, découverte, perdue et redécouverte par des moines. Est-ce ce qu’a voulu nous raconter le peintre ? La plus célèbre représentation de la décollation de Jean-Baptiste est celle du Caravage. |
Qui veut bien nous aider à percer ce mystère ?
Voici de quoi occuper les journées de mauvais temps ou le farniente sur une plage ensoleillée car, l’été est là.
bonne détente et tout et tout…