Que vaut la vie si, plongé dans tous tes soucis, tu ne prends pas le temps de t’arrêter pour contempler ?
(Walter de la Mare)
Le nom de Maisa ou Maesa apparaît dès le 11ème siècle dérivant d’un propriétaire Masius ou bien du roman mesel (autrefois ladre, leprâ infectus). On appelait au Moyen Age mézellerie c’est-à-dire léproserie, vieux terme d’usage du temps de Saint Louis, où la léproserie était fréquente en France rapportée par les Croisés de la Terre sainte où on regroupait les lépreux.
La paroisse de La Meyze (Maisa ou Maesia aux alentours de l’an mil) est très ancienne et fut le siège d’un archiprêtré jusqu’au concordat de 1801.
Ce titre d’archiprêtre explique l’important presbytère, vendu comme bien national en 1796.
La commune s’est appelée La Meize en 1793 puis Lameize en 1801.
L’église paroissiale remonte à l’époque carolingienne.
. A gauche de l’autel : la cathèdre (appelé aussi trône de l’évêque)
. Derrière la cathèdre 2 châsses
L’une des châsses renferme les reliques de Saint Gaucher qui fonda le monastère d’Aureil entre 1081 et 1085. Dans le Limousin, Saint Gaucher fut pour le clergé un modèle de vie commune et de salut des âmes.
A gauche, Saint Paul.
Au centre, vitrail de la conversion de Saint Paul sur le chemin de Damas.
A droite, Saint Pierre.
Le Saint Roch de La Meyze en l’église Saint Michel
Catégorie : Sculpture
Edifice de conservation : église paroissiale Saint-Michel
Matériaux : bois : peint, polychrome, doré
Structure : revers sculpté
Description : Statue à revers travaillé, elle comporte une terrasse rectangulaire à angles (…)
Que vaut la vie si, plongé dans tous tes soucis, tu ne prends pas le temps de t’arrêter pour contempler ?
(Walter de la Mare)
Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous.
(Paul Eluard)